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Prévenir les pollutions futures, assurer la sécurité des sites nouvellement découverts, connaître, surveiller et maîtriser les impacts, traiter et réhabiliter en fonction de l’usage puis pérenniser cet usage, garder la mémoire, impliquer l’ensemble des acteurs : nos équipes adressent l’ensemble de ces enjeux.
Nos experts hydrogéologues vous assurent une parfaite compréhension des systèmes d’hydrogéologies complexes, dimensionnent les opérations de rabattement de nappes, modélisent les migrations des polluants en nappe, conçoivent la mise en place de barrière hydraulique passive, en confinant la source polluante, et active en interceptant les eaux contaminées et les traitant avant rejet.
L’évolution de la pollution d’une nappe peut être anticipée et suivie à l’aide d’outils de modélisation numérique.
Nous pouvons vous aider à comprendre les systèmes hydrogéologiques complexes et à modéliser les migrations des polluants en nappe.
Lorsque la source d’une pollution de nappe ne peut pas être éliminée, nos hydrogéologues peuvent vous accompagner par la mise en place de barrière hydraulique passive pour confiner la source, et de barrière hydraulique active pour intercepter les eaux contaminées et les traiter avant rejet.
Nos expertises :
Dès la phase d’études, nous prenons en compte les risques résiduels (chimique, électrique...) pour un accompagnement sur-mesure de vos projets de désamiantage, déconstruction, démolition et dépollution.
Désamiantage, déconstruction, démolition, dépollution… Nos équipes habilitées SS3 (habilitation prévention des risques liés à l’amiante sous-section 3) assurent vos opérations de :
Vos projets sont alors sécurisés, avec une maîtrise des aléas et dérives éventuelles.
Dès la phase d’études, nous considérons les risques résiduels (chimique, électrique...). Nos collaborateurs habilités SS3 émettent un avis critique sur le Dossier Technique Amiante, analysent le diagnostic PEMD (Produit Équipement Matériaux Déchet) pour optimiser le réemploi et la valorisation, clarifient le process (précurage, désamiantage, curage, abattage...) et proposent des méthodologies de travail adaptées au projet et à son environnement pour prendre en compte les séparations structurelles, les avoisinants et la gestion des nuisances.
Lier le centre historique avec les différents quartiers de la ville, revitaliser l’offre de commerces, développer la biodiversité…c’est l’objectif de l’opération Cournon cœur de ville.
L’Établissement Public Foncier d’Auvergne (EPF), propriétaire en grande partie du patrimoine bâti concerné par les travaux, a missionné nos équipes pour assurer la maîtrise d’œuvre du désamiantage, déconstruction et dépollution d’une quinzaine de bâtiments (logements, station-service, commerces...) à travers la :
Les techniques de dépollution hors site basées sur l’excavation des terres et leur envoi en filières spécifiques.
Les techniques de dépollution sur site basées sur l’excavation des terres puis leur traitement ; avec pour objectif la réutilisation des terres sur site après traitement et/ou l’optimisation des envois en filières extérieures.
Les techniques de traitement in situ réalisées directement au sein du sol en place ou des eaux souterraines.
Ces approches visent une gestion intégrée et une protection de l’environnement en ciblant spécifiquement les terres polluées. Il est fréquent d’utiliser ces 3 approches au sein d’un même projet si celui-ci est conséquent et complexe.
On dépollue un sol en retirant les terres polluées pour les remplacer par des matériaux sains ou en intervenant directement dans le sol en place de manière à réduire la quantité de polluants en place. Cela permet une meilleure protection des eaux souterraines et une utilisation optimisée des sols.
La dépollution consiste à retirer les pollutions concentrées ou à réduire la concentration de polluants qui peuvent générer des risques de dégradation de l’environnement et/ou des risques sanitaires pour les personnes. Elle garantit la gestion efficace des sites et la préservation des terres et des eaux souterraines.
Agir sur la pollution des sols grâce à des espèces végétales se nomme la phytoremédiation. Des plantes comme la moutarde brune, la luzerne ou des arbres comme les peupliers et les saules peuvent être utilisés. Ces plantes contribuent à la gestion des terres polluées en évitant la dispersion de polluants grâce à leur couvert végétal de surface (phytostabilisation). Toutefois, leur action est limitée en surface des sols (quelques dizaines de centimètres).
On dépollue souvent les sols de leurs métaux lourds en excavant les terres ou en les stabilisant de manière à éviter tout transfert de pollution. Le traitement des terres polluées permet une utilisation durable des sites et des ressources.
Assainir les sols consiste à réduire la présence de certains polluants problématiques de manière à rendre le site utilisable en fonction de son usage, tout en évitant les risques de dégradation de l’environnement et les risques sanitaires pour les usagers. Cette démarche préserve les terres, les eaux souterraines et leur utilisation future.
« Nettoyer » un sol consiste à traiter prioritairement les pollutions les plus chargées, dites pollutions concentrées, pour que les pollutions laissées en place, dites « résiduelles », ne soient pas problématiques pour l’environnement et les futurs usagers. Cela garantit la protection de l’eau, de la terre et du site.
Il faut adopter de bonnes pratiques au sein des sites de manière à éviter tout épandage de pollution (produits sous rétention…) et toute diffusion de pollution atmosphérique (filtres sur les rejets…). La gestion proactive des terres et des eaux souterraines est essentielle à la protection de l’environnement.
Il est conseillé de contacter un bureau d’étude compétent qui vous guidera dans l’ensemble de vos démarches et notamment pour vos échanges avec l’administration (services instructeurs des permis de construire ou d’aménager, DREAL, DDT).
